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| Votre Anti-stress au quotidien, | 
Bon stress ! Mauvais stress § 
Votre bon stress, vous le connaissez bien, il vous stimule, il vous dynamise, vous oblige à vous dépasser, vous encourage à vous lancer des défis et à cerner vos priorités . Tant que vous restez dans votre équilibre, il vous apporte de l'énergie.  Cependant dés que cet équilibre est menacé, votre stresse devient votre pire ennemi. Des techniques de détente permettent de faire barrage à la pression de votre monde extérieur et de mieux vous sentir.
Une séance de marche en foret, pour votre organisme sera bénéfique, mais comment pouvez vous faire quand le temps vous manque pour inclure dans votre journée cette promenade ? 
Il est important que vous appreniez à gérer votre stress au quotidien avec vos techniques propres, rapides, faciles que vous mettrez en œuvres sans difficultés.
En voici ! Une qui fait ses preuves et que vous n'aurez aucunes difficultés à utiliser dans votre quotidien : 
Votre  bâillement ne sera pas  une simple                     ouverture de la bouche, mais, un mouvement                     d'étirement musculaire                     généralisé,  de vos  muscles                     respiratoires (diaphragme,  intercostaux,                     scalènes), de vos  muscles de la face et  du                     cou. Quand tous vos  muscles antigravitaires se                      contractent simultanément, on parle de                      pandicuation c'est à dire un                     étirement généralisé                     de tout le corps.Cette  association complexe et synergique de vos                      mouvements sont  néanmoins un comportement                     très stéréotypé. Une                      fois enclenché, votre  bâillement pourra                       être modulé, chez vous , par votre volonté, soit en  accentuant toutes vos                      phases, soit en minimisant  votre ouverture de  votre bouche et votre expiration. 
 Les structures cérébrales                     commandant le bâillement chez les                     vertébrés
                                          Votre  comportement est le résultat d'une de vos                      activités   motrices , témoin d'un                     stimulus moteur neuronal                      métamérique ou spinal adjacent ou                      cortical. Votre  déclenchement est soit                     volontaire, soit  sensitif soit                     végétatif. Votre  conséquence                      est: soit une action motrice adaptée,                     soit  un réflexe somato-moteur, soit une                     fonction  d'homéostasie                     neuro-endocrine.
Votre  bâillement est                     involontaire.  (rythme  veille-sommeil,                     faim-satiété). L'information                      sensitive déclenchante projette au niveau                      métamèrique d'une part, envoie des                     influx au  cortex avec des relais hypothalamiques                     d'autre part.  Nous allons donc préciser                     les structures commandant  l'activité                     motrice de votre  bâillement, les                      mécanismes sensitifs                     périphériques, acteurs  du                     déclenchement de votre  bâillement, la                      nature et la conséquence de la                     réaction  d'homéostasie                     engendrée.Toutes ces données confirment que votre  bâillement naît dans les                     structures archaïques du cerveau,  c'est                     à dire communes à tous les                      vertébrés (voir ci-dessous le                     rôle prépondérant du  noyau                     paraventriculaire de l'hypothalamus). Vos                       muscles qui se contractent pendant votre                       bâillement dépendent de vos  nerfs                     crâniens  5,7,9,10,11,12, de vos  nerfs                     cervicaux C1-C4 (nerf  phrénique) et de vos                      nerfs dorsaux innervant les  intercostaux,                     muscles respiratoires accessoires. Les  noyaux                     moteurs sont situés dans le tronc                      cérébral                     (cerveau "reptilien") 
Qu'appelle-t-on le cerveau reptilien?
Albert Coppé
Avec son enchevêtrement de 20 milliards de neurones, le
cerveau humain est considéré à ce jour comme la chose la
plus complexe de l'Univers. Mais il n'a pas atteint ce niveau
de complexité du jour au lendemain. Son évolution s'est
faite progressivement, par l'ajout de nouvelles structures
durant des centaines de millions d'années.
Pour expliquer les différentes étapes de son évolution, on
peut considérer que nous avons trois cerveaux. Selon cette
métaphore, il y a le « cerveau reptilien », le « cerveau
mammalien » et le « cerveau humain ».
Le cerveau reptilien fait référence aux structures primitives
du cerveau qui ressemblent à celles que possèdent les
reptiles, c'est-à-dire le tronc cérébral qui comprend le bulbe
rachidien et le mésencéphale. Le cerveau reptilien est,
grosso modo, responsable des instincts et des réflexes
innés. Par exemple, si vous sursautez parce que vous
croyez avoir vu quelque chose, c'est probablement le
cerveau reptilien qui est à l'oeuvre.
Ensuite, on trouve le cerveau mammalien qui correspond au
système limbique. On le considère souvent comme le «
siège des émotions ». Les sentiments d'affection que l'on
retrouve chez la plupart des mammifères trouveraient
principalement leurs origines dans le système limbique.
Et, pour finir, trônant au-dessus des deux autres, le cerveau
humain est constitué des hémisphères cérébraux – ou
néocortex –, lesquels sont particulièrement développés chez
l'Homme et les Primates. Regroupant les trois-quarts des
neurones de l'organisme, le néocortex est le siège de
l'intellect.
Conclusion : malgré notre néocortex et ses fabuleuses
facultés intellectuelles, il faut se rappeler qu'il sommeille
également un lézard en Vous...
 et dans les voies  respiratoires et                     vasomoteurs situés à                      proximité.
Facteurs déclenchant de votre bâillement                                          La  description classique et                     détaillée de votre  bâillement se                      présente comme comme un cycle                      respiratoire paroxystique. Mais est-ce acquis et                      intangible ? En revoyant la pandiculation dans                     son  entier déroulement, il paraît                     plus précis de  considérer que votre                      comportement est un travail  musculaire                     généralisé avec :                                           -une  contraction de vos  muscles de votre  mâchoire                     et de votre   pharyngo-larynx, responsable de la large                     ouverture  de votre  bouche et de vos  voies respiratoires                     hautes,                                          
                                          -une contraction massive de votre  diaphragme                     responsable de votre ample inspiration,                                          -une  contraction de vos  muscles extenseurs de vos                      membres et  des muscles paravertèbraux                     responsable de  l'étirement de vos  membres et                     de votre  tronc,                                           Suivant  les cas, la contraction peut se                     limiter aux muscles  de votre  cou, de votre  visage et de votre                      diaphragme décrivant votre   bâillement                     proprement dit, ou à l'ensemble de votre                       musculature corporelle et réaliser une                      pandiculation. Dans cette acceptation, votre activité respiratoire ne sera  qu'une                     conséquence de  votre activité                     musculaire.                                          
                      La suspension de l'activité tonique du                      locus coeruleus adrénergique et d'autres                      noyaux du pont, lors de votre  sommeil paradoxal, est                      responsable de l'hypotonie                     périphérique. Il en                      résulte, également, une diminution                     de votre activité de vos  muscles dilatateurs de vos                      voies  aériennes supérieures,                     expliquant votre tendance au  collapsus du                     pharyngo-larynx. Celle-ci est maximale  lors de votre                      sommeil paradoxal, plus prolongé en fin                      de nuit.
                                          Lors  de votre éveil, la reprise de votre activité  noradrénergique                     déclenche une récupération                      de votre 'activité motrice active. Vos 'étirements   musculaires  des membres et du                     tronc témoignent de la  reprise musculaire                     tonique déclenchant une  augmentation de votre  fréquence cardiaque, de votre  pression                     artérielle, de votre  métabolisme                      musculaire associée à votre                      dérouillage  articulaire. Votre                      bâillement apparaît comme une ample                      contraction des vos  muscles inhibées lors de votre                       sommeil paradoxal, un peu comme un effet en                      miroir inverse de l'inhibition provoquée                     par votre   sommeil paradoxal, ouvrant largement le                      pharyngo-larynx. Si vos  motoneurones                     stimulés sont  sus-jacents à la                     5° racine cervicale, votre  bâillement                      apparaît isolément, comportant vos                       contractions - étirements des muscles de votre  face,  de votre  cou et de votre  diaphragme (nerf                     phrénique). Si  l'ensemble des noyaux                     moteurs du tronc cérébral et  des                     voies spinales sont stimulés ,                      apparaît la pandiculation.
Habituellement une activation de votre vigilance  s'accompagne d'une exacerbation                     de vos sentiments  anxieux ou d'excitation, votre                      bâillement procure un  état de                     détente transitoire et                      réconfortant.Le curieux                     phénomène de la contagion (mieux                     vaut dire réplication ou  (échokinésie)                      de votre  bâillement, propre à l'Homme et                      aux grands singes, implique la mise en jeu de                      circuits neuronaux superposables à ceux                     activés au  cours des processus de                     l'empathie, comme l'imagerie  fonctionnelle                     cérébrale contemporaine l'a                      montrée.                                                                                    De notre premier à                     notre dernier souffle nous bâillons                     environ 250 000 fois !                                          et n'oubliez pas le                     slogan: trainaillez plus pour bâillez plus                     ! 
Baillez !!! baillez ! 
Apprenez à regarder autour de vous, votre animal de compagnie ...il baille sans vergogne ....! quand il en a envie !
La politesse nous enseigne nos devoirs envers les autres et vous devez contrôler votre bâillement même si ceci ne rime pas toujours avec votre bien-être physique. Oui ! le bâillement permet d'oxygéner la boite crânienne et de rééquilibrer les énergies, la pression de la boite crânienne est un mal être assurée et plus sur du long terme ! c'est énergétique !!!! 
Le bâillement, apportera détente, sommeil ...c'est bon pour notre santé, le bâillement libère votre corps des énergies négatives ! alors ! ne vous en privez pas !!  
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