NOMS COMMUNS : Épine blanche, Épine de mai, Noble Épine, Bois de mai, Poire d'oiseau, Sénellier, Sable épine. CONSTITUANTS CHIMIQUES PRINCIPAUX : polyphénols dont flavones et dérivés du procyanidol. PARTIES UTILISEES : fleurs et sommités fleuries. |
UN PEU D'HISTOIRE :
Longtemps avant notre ère, aux repas de noces qui se déroulent à Athènes, chaque convive porte une branche d'aubépine, gage de bonheur et de prospérité pour l'avenir des époux. A Rome, c'est le marié lui-même qui en agite un rameau en conduisant sa femme vers la chambre nuptiale, et on attache de l'aubépine au berceau des nouveau-nés pour les mettre à l'abri des mauvais sorts et des maladies. L'avènement du christianisme ne fait que confirmer ces croyances. C'est, en effet, l'aubépine qui aurait servi à tresser la couronne du Christ et on dit même que cette plante est entrée dans l'écriture sainte bien avant la Passion puisque le célèbre « buisson ardent » près duquel Moïse eut son premier entretien avec Dieu sur le mont Horeb n'en serait qu'une autre variété, le Crataegus pyracantha ou buisson ardent, originaire d u pourtour de la Méditerranée et introduit en France en 1629. A l'époque des croisades, le chevalier partant pour la Terre sainte offre à sa dame un rameau d'aubépine, lié d'un ruban incarnat, signe qu'il « vivra en espérance ». Pendant des siècles, les flambeaux qui éclairent la chambre nuptiale sont de bois d'aubépine conservé spécialement pour cette occasion solennelle. Dans de nombreuses régions, on tresse au printemps des couronnes d'aubépine pour que les fées ou les anges qui viennent danser la nuit autour des buissons embaumés puissent s'en coiffer et témoignent leur reconnaissance en r épandant leurs bienfaits sur ceux qui ont cru cette attention à leur égard. En Bourgogne, les mères portent leur enfant malade devant les haies fleuries car elles pensent que leurs prières monteront mieux au ciel en même temps que le parfum des fleurs. En Normandie, encore aujourd'hui, on affirme que la foudre épargne l'aubépine (ou la maison qui en est ornée) parce que la foudre est l'oeuvre du Diable et qu'elle ne peut frapper une plante qui a touché le front du fils de Dieu, croyance partagée par la Bretagne qui la complète par une vénération particulière pour le rouge-gorge, car, dit-on, c'est en cassant avec son bec une épine de la couronne de Jésus qu'un peu de sang a taché sa poitrine. |
DESCRIPTION :
L Aubépine est un arbrisseau buisson pouvant atteindre
4 mètres de hauteur. Les rameaux grisâtres sont couverts de f ortes épines courtes. Les feuilles dentées et incisées sont divisées en trois à cinq lobes peu profonds, vert luisant dessus, plus pâles dessous. Les fleurs blanches ou rosées apparaissent en mai, elles sont disposées en corymbes et partent à l'aisselle des feuilles. Le fruit charnu renferme plusieurs graines. |
CULTURE ET RÉCOLTE :
L' Aubépine est très commune dans toute l'Europe, en Asie, dans le nord de l'Amérique. Sa culture s'effectue par semis, mais la plante ne germe que l'année suivante, sa croissance est lente. On repique ensuite les plants, toutes les terres leur conviennent. L 'Aubépine, extrêmement robuste, peut vivre jusqu'à 500 ans. Supportant bien la taille, elle sert à confectionner des haies, et comme porte-greffe pour les Poiriers. Les fleurs sont recueillies avant leur épanouissement, qui leur donne un aspect velouté, voire de fausse moisissure. Elles sont séchées en couches minces. L'odeur fraîche et agréable disparaît au séchage. On récolte également les sommités fleuries, qui sont séchées à plat ou en bouquets. |
USAGES :
Déjà
célébrée par Ronsard dans ses Odes, l'action des sommités
fleuries sur le coeur a été découverte à la fin du XlXème siècle. Les flavonoides présents, notamment l'hyperoside et la vitexine, régularisent le rythme cardiaque ils agissent ainsi sur l es rythmes trop rapides, diminuent les palpitations du coeur et la perception exagérée des battements cardiaques chez les personnes anxieuses. C'est un tonicardiaque qui soutient les coeurs fatigués. |
L'aubépine
a une action dilatatrice sur les coronaires et aide ainsi à prévenir
les crises d'angor.
Elle diminue la tension artérielle chez les hypertendus. Outre le cœur,
l'aubépine a un autre domaine de prédilection : le système nerveux
central. Elle réduit la nervosité et l'anxiété des adultes et des
enfants, soigne les troubles du sommeil et améliore les troubles du
rythme cardiaque chez le spasmophile. Sans accoutumance ni effets
secondaires, elle remplace avantageusement les médicaments classiques
de l'anxiété tout en évitant les inconvénients tels que
somnolence pendant la journée, perte de mémoire... Les
fleurs se préparent en infusion pendant 10 minutes, à raison
d'une cuillerée à café par tasse. Prenez-en deux ou trois tasses par
jour dont une le soir. En cure d'entretien, la prise du soir suffit.
INDICATIONS :
lA FLEUR D’AUBÉPINE A UNE ACTIVITÉ HYPOTENSIVE...
L' ATTÉNUE : AUBÉPINE
LES TROUBLES DU SOMMEIL
- LES INSOMNIES
- - PALPITATIONS,
ANXIÉTÉ, NERVOSITÉ- INSOMNIE DE L'ADULTE ET DE L'ENFANT,
- - SEVRAGE PROGRESSIF D'UN TRAITEMENT PAR BENZODIAZÉPINES ET AUTRES ANXIOLYTIQUES CHIMIQUES,
- TRAITEMENT ADJUVANT PRÉVENTIF DES AFFECTIONS CARDIAQUES:
- CŒUR FATIGUÉ,
- TROUBLES CORONARIENS,
- ANGOR DE STRESS.
Eschscholtzia californica
Appartient à la famille des papavéracées comme le coquelicot. Son autre nom est le pavot de Californie.Ses fleurs ont une belle couleur orangée vive. On rencontre cette fleur en France dans la zone méditerranéenne, c'est une fleur qui aime le soleil.
En phytothérapie, l'escholtzia lutte contre les troubles du sommeil et les réveils nocturnes.
C'est un somnifère doux qui peut même être utilisé pour favoriser le sommeil des enfants. Son action anti-stress est souvent utilisée en association avec d'autres plantes comme la valériane ou la passiflore pour améliorer la qualité du sommeil. L'escholtzia permet de soigner l'énurésie de façon naturelle. C'est sa richesse en alKaloïdes (protopine, cryptopine, chélidonine et alKaloïdes du groupe de la pavine) qui lui confère ses propriétés d'hypnotique léger et naturel.
L'escholtzia est disponible sous forme de teinture mère homéopathique (dilution alcoolique de la plante), de gélules à base d'extraits secs d'Escholtzia ou d'EPS (extraits de plantes fraîches standardisé) d'Escholtzia.
LA PASSIFLORE
Le nom de « passiflore » vient de ce que la fleur est supposée rappeler la Passion du Christ.
Les filaments au centre sont censés représenter la couronne d'épines, d'autant plus qu'ils seraient au nombre de 72,
précisément le nombre d'épines,
à ce qu'il paraît, qui ornaient la couronne du Christ. De son côté, avec ses trois styles, le pistil représenterait les trois clous utilisés pour sa crucifixion tandis que les cinq étamines teintées de rouge à la base symboliseraient les cinq plaies. Enfin, la feuille à la pointe aiguë représenterait la lance et sa face inférieure, marquée de taches rondes foncées, les 30 pièces d'argent que le perfide Judas reçut pour avoir trahi son maître.
On attribue cette légende ainsi que l'origine du nom de la plante, à Jacomo Bosio, moine scolastique italien qui, en 1609, alors qu'il piochait dur, mais sans grands résultats, sur son traité consacré à la croix et au calvaire du Christ, eut la chance inouïe de rencontrer Emmanuel de Villegas, moine mexicain en voyage à Rome qui avait en sa possession des illustrations d'une fabuleuse fleur, alors parfaitement inconnue en Europe.
D'abord sceptique quant à l'existence d'une telle merveille, Jacomo Bosio dut se rendre à l'évidence, car d'autres personnes ayant voyagé dans ce qu'on appelait encore à l'époque la nouvelle Espagne, confirmèrent les dires du moine mexicain. Absolument ravi, le moine érudit trouva là l'occasion unique non seulement d'enjoliver son traité et, par là, de lui donner un petit coup de pouce publicitaire, mais également d'apporter la preuve absolue de l'existence du Christ et de sa Passion, car Dieu son Père n'avait-il pas justement mis volontairement sur le chemin de l'Homo désespérément incredulus cette fabuleuse fleur arborant les symboles du calvaire réunis?
La foi du moine a de quoi édifier parce que, pour nous simples mortels encore attachés aux plaisirs de ce monde,
la fleur de la plante rappelle tout sauf la Passion du Christ. Avec ses organes de reproduction démesurés qu'elle expose sans la moindre pudeur et le parfum capiteux qu'elle dégage, on tomberait plutôt ici dans le domaine de la passion humaine.
Dans le sud, les Amérindiens se servaient des feuilles en cataplasmes pour soigner les blessures et les ecchymoses.
Quant au jus du fruit, ils s'en servaient pour soigner les douleurs oculaires. Les feuilles broyées avaient la réputation de soulager les hémorroïdes, les brûlures et les éruptions cutanées.
- Absente de
plusieurs traités traditionnels de matière médicale, la passiflore est
restée relativement peu connue malgré ses propriétés sédatives et
calmantes bien réelles et son innocuité pour la majorité des gens. À cet
égard, on connaît beaucoup mieux la valériane et le houblon, qu'elle
accompagne pourtant fréquemment dans les préparations d'herboristerie.
- Utile contre l'insomnie,
- les états nerveux (angoisse, hystérie,
palpitations), la neurasthénie, l'excitation cérébrale,
- voire l'épilepsie,
- elle a également servi à soigner les troubles de la
ménopause.
- Antispasmodique et anodine, elle soulage les névralgies et l'asthme spasmodique
- les états nerveux (angoisse, hystérie,
palpitations), la neurasthénie, l'excitation cérébrale,
- La
passiflore a tout de même fait l'objet de quelques études récentes; ses
propriétés anxiolytiques semblent sur la voie d'être confirmées.
- Elle
serait notamment utile pour soigner l'extrême anxiété causée par le
sevrage du cannabis, des opiacées ou de l'alcool.
- On croit aussi qu'elle peut soigner l'azoospermie, c'est-à-dire l'absence de spermatozoïdes dans le sperme, ainsi que la stérilité et la baisse de libido dont souffrent bien souvent les grands consommateurs d'alcool ou les fumeurs invétérés...
- Elle
serait notamment utile pour soigner l'extrême anxiété causée par le
sevrage du cannabis, des opiacées ou de l'alcool.
- Utile contre l'insomnie,
- Enfin, la passiflore aurait récemment montré des propriétés antitussives qui confirmeraient son usage traditionnel dans l'asthme.
LA VALÉRIANE
Plante
herbacée vivace, la valériane apprécie les lieux humides. Sa tige
dressée et cannelée peut mesurer jusqu’à 2 mètres. Ses feuilles opposées
sont dentées. Ses fleurs, petites, d’un blanc rosé, sont visibles de
mai à août et se placent en grappes à l'extrémité de la tige. La plante
est utilisée en phytothérapie pour ses vertus antispasmodiques. Le terme latin (valere) dont elle tire son nom, signifie d’ailleurs « bien se porter ».
La valériane est également appelée «
herbe-aux-chats » car son odeur attire ces derniers. Ce sont les parties
souterraines de la plante (comme la racine ou le rhizome)
qui sont utilisées en phytothérapie. Récoltée au printemps ou à
l’automne, la plante est principalement cultivée en France, en Allemagne
et en Europe centrale. La racine de valériane contient une huile essentielle, des alcaloïdes, des tanins et des acides - valérique et isolvalérique - qui auraient des propriétés sédatives.
La valériane et... le sevrage tabagique !
Les remèdes à base de valériane permettraient
d’atténuer l’irritabilité nerveuse, les troubles cardiaques d’origine
nerveuse et les crampes. Ils sont employés en cas de dépression, de fatigue, de surmenage intellectuel ou d’insomnie chronique. Utilisée en infusion par exemple, la valériane raccourcirait le temps d’endormissement et améliorerait la qualité du sommeil. La plante enfin, est parfois utilisée dans le cadre des programmes de sevrage tabagique.
Note. La phytothérapie est utilisée
en médecine traditionnelle depuis des siècles. Son efficacité et son
innocuité restent toujours discutées. Et pour cause, comme l’explique
l’Organisation mondiale de la Santé dans un rapport de 1998, « un nombre relativement petit d'espèces de plantes ont été étudiées pour d’éventuelles applications médicales ».
Cet article s’inscrit naturellement dans cette démarche. Ajoutons que
compte tenu des risques éventuels d’effets indésirables, d’interactions
médicamenteuses voire de toxicité de certaines plantes, informez
toujours votre médecin, si vous recourrez régulièrement à la
phytothérapie.
LE MAGNÉSIUM
LE MAGNÉSIUM
L'on pense généralement que le calcium
et le phosphore sont les
Absence ou insuffisance d'un ou plusieurs nutriments essentiels pour le métabolisme et le développement de l'organisme.
composants diététiques les plus importants en
ce qui concerne la santé des os. Il est nécessaire d'y ajouter le magnésium.
Celui-ci est impliqué dans des centaines de
réactions biochimiques qui concernent les os, le rythme cardiaque et le
fonctionnement du système nerveux. Une carence (Absence ou insuffisance d'un ou plusieurs nutriments essentiels pour le métabolisme et le développement de l'organisme).
en magnésium se traduit par un besoin accru d'oxygène et un rythme
cardiaque plus élevé durant les exercices physiques. Lors d'activités
modérées en état de carence, une quantité supérieure d'énergie est
consommée, d'où une fatigue intervenant plus rapidement.
Ces résultats proviennent d'une étude menée par
Henry C. Lukaski, physiologiste, et Forrest h. Nielsen, nutritionniste,
tous deux chercheurs à l'Agricultural Research Service (Etats-Unis). Des
volontaires ont commencé par suivre, pendant 35 jours, un régime
correspondant à un apport journalier normal de magnésium. La phase
suivante a consisté à leur faire suivre, pendant 93 jours, un régime
correspondant à la moitié de l'apport journalier recommandé. La dernière
phase a consisté en un régime normal sur 49 jours.
L'organisme stocke environ la moitié du magnésium à
l'intérieur des tissus et organes. L'autre moitié va, avec le calcium et
le phosphore, dans les os. Une faible part (1%), circule dans le sang à
un taux constant. Cette étude confirme de précédentes recherches
montrant qu'un faible taux de magnésium va de pair avec un organisme
plus rudement mis à contribution. La bonne santé des os, ainsi que celle du coeur et des muscles, dépend d'une alimentation suffisamment riche en magnésium
Compléments alimentaires : dangereux si consommés à mauvais escient
Si les compléments alimentaires sont
souvent associés à une notion de meilleure santé, leur consommation
déraisonnée peut produire l’effet inverse. Or, une vaste étude menée sur
toute la France révèle que ces produits prennent de plus en plus
d’ampleur et que le phénomène n’est pas toujours contrôlé.
Les compléments alimentaires ont de plus en plus la cote en France. Une étude française, publiée dans le British Journal of Nutrition, révèle que 28,1 % des femmes et 14,6 % des hommes ont avalé ces produits durant l’année écoulée, avec en tête le magnésium, préféré aux vitamines B6 et C. Pourtant, trop souvent, leur consommation n’est pas pertinente et, dans certains cas, elle peut s’avérer dangereuse.
Mené sur 79.786 adultes français, ce travail, issu
d’une collaboration entre plusieurs organismes comme l’Inserm, la Cnam,
l’Inra ou l’université Paris 13, s’est basé sur les résultats à des
questionnaires de personnes participant à l’étude NutriNet-Santé. Le niveau d’étude, le statut socio-économique, le mode de vie, les habitudes tabagiques, la pratique sportive, l’obésité sont autant de critères qui ont été pris en compte.
Dans 41 % des cas, les sujets ont indiqué en prendre
pour combattre la fatigue, et 33,8 % du temps pour rester en bonne
santé. Pourtant, il se pourrait que parfois, cette supplémentation
engendre les effets inverses.
L’alimentation équilibrée, l’ennemi des compléments alimentaires
Les auteurs considèrent en effet qu’une alimentation équilibrée est largement suffisante pour apporter tous les nutriments
nécessaires. Or, il s’avère que les personnes les plus habituées des
compléments alimentaires sont typiquement des femmes, suivant plutôt
bien les recommandations nutritionnelles du programme national nutrition
santé (PNNS), ayant une alimentation et un mode de vie sains (plus de sport, moins de tabac etc.).
Le mieux est l’ennemi du bien. Différentes études
ont montré que les compliments alimentaires s’avèrent précieux pour
compenser les carences
alimentaires, mais sont inutiles voire dans certains cas déconseillés
si les apports quotidiens en nutriments sont suffisants. Pourtant,
seulement 5,4 % des Français interrogés disent en consommer pour
rééquilibrer leur alimentation.
Les
compléments alimentaires ne sont pas des aliments qu'on peut avaler à
la petite cuillère. Ils doivent être consommés en cas de carence et, dans l'idéal, après une visite chez le médecin. © Sorinus, StockFreeImages.com
L’autre point inquiétant concerne l’automédication :
les compléments alimentaires sont prescrits par un professionnel de
santé dans 55 % des cas. Le reste correspond à de l’automédication.
Pratique dangereuse, surtout pour les fumeurs.
Des interactions médicamenteuses à risque
En effet, si les accros à la cigarette sont globalement moins enclins à se diriger vers ces suppléments que les non-fumeurs, l’apport en vitamine A peut notamment réveiller des tumeurs
latentes. Ce n’est pas la seule population à risques, car les
compléments alimentaires interagissent parfois négativement avec
certains médicaments. À titre d’exemple, une étude aurait noté 1.491 interactions néfastes entre 213 de ces compléments avec 509 traitements.
Quels sont les risques ? Que la thérapie soit moins efficace ou, au contraire, qu’il y ait un effet de surdosage. La vitamine E diminue l’absorption des médicaments contre les maladies cardiovasculaires, le cholestérol ou le diabète. Certains traitements agissant sur le système nerveux central pourraient aussi être altérés.
Enfin, certains compléments sont fortement déconseillés pour les patients atteints de certains cancers (sein, prostate, leucémie…)
ou ayant été affectés, car certains composés comme les phytoestrogènes
peuvent favoriser le développement de tumeurs mammaires.
Ce travail met donc en évidence l’utilisation parfois abusive de compléments alimentaires en France. La santé passe par la nutrition,
mais à partir du moment où l’alimentation est équilibrée, il n’y a pas
besoin de la supplémenter. Pour éviter tout problème lié à la
consommation de ces produits, la meilleure chose à faire consiste à
demander un avis médical. Si l’objectif est de se faire du bien, autant
avoir l’avis d’un professionnel pour ne pas empirer les choses.
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